Photo-haiku
sâmbătă, 2 ianuarie 2021
miercuri, 30 decembrie 2020
La Lettre de Haïkouest - Édition n°61, décembre 2020
allongée
sur un lit de pommes de pin -
les étoiles chuchotent
2
Coronavirus -
laissé tout seul à la maison
l'arbre de Noël
3
accident de voiture -
un petit ours en peluche
sous un sapin
joi, 24 decembrie 2020
Fujisan Tanka Award 2020
Selection Committee Members:
Mr. Hiroshi Homura (Selector of TANKA for Nikkei Shimbun)
Ms. Naoko Higashi (Selector of TANKA for Tokyo Shimbun)
Third Place Award:
duminică, 20 decembrie 2020
miercuri, 9 decembrie 2020
sâmbătă, 28 noiembrie 2020
Haïkus et Tankas d’Animaux ( Livre collectif) 2020
1
haute neige –
près d’un pommier sauvage
un cheval hennit
2
encens fumée –
un papillon blanc suit
la mante religieuse
3
la super lune
dans une goutte de rosée –
les grillons rient aux éclats
4
maison des parents –
somnolant dans leur coquilles
deux escargots
5
jeune coucou –
c’est naturel ou adoptif
son nid
6
métronome –
le sifflement d’un merle
dans la cage thoracique
7
un cygne
piégé dans la glace du lac –
chaussons de danse pendus
miercuri, 18 noiembrie 2020
luni, 2 noiembrie 2020
The Helping Hand Haiku Anthology by Robert Epstein
I am pleased to announce the publication of "The Helping Hand Haiku Anthology (Including Senryu, Tanka and Haiga)."
I thank Robert Epstein for including my Haiga in this new anthology.
duminică, 1 noiembrie 2020
L'ours dansant – Le journal du haïku N° 1, octobre 2020
soc bine tranchant -
odeur des racine et des os
le long du sillon
lamă tăioasă-
iz de rădăcini și oase
de-a lungul brazdei
joi, 29 octombrie 2020
miercuri, 28 octombrie 2020
The Bamboo Hut journal of English language tanshi Nr. 4 2020
the sea
is a tear in the window -
this agoraphobia
that grows in the ever-widening
space between me and you
if I were a leaf,
I would take a roundabout...
however
is the end of my road,
it has a no return sign
poplars in the wind -
my twin shadow left
the shore;
little waves of the lake
distorting my face
a day to cry
among old memories
in the attic -
the rain keep changing
its tempo on the roof
if you come
and can't find me anymore,
take a look among stones -
I'm still waiting for you
in our secret place
duminică, 18 octombrie 2020
miercuri, 14 octombrie 2020
duminică, 4 octombrie 2020
marți, 29 septembrie 2020
La Lettre Haïkouest n°60 de septembre 2020.
1
mémoire -
un oiseau migrateur
sans retour
2
nouveau jour -
il regarde le aide-mémoire
en douce
3
Alzheimer -
elle veut une robe de la même couleur
que son bracelet
joi, 17 septembrie 2020
Iris InternationalWeb magazine for haiku and related genres
Publisher: The Haiku Association “Three Rivers”, Ivanić-Grad, Croatia
kraj rata –postati anđeos jednim krilom
prognana obitelj –putem mu ispaomliječni zub
krletka –njena ispraznost ispunjavamoju prazninu
See more haiga here:
https://tri-rijeke-haiku.hr/wp-content/uploads/iris/iris-international-6.pdf
luni, 17 august 2020
duminică, 16 august 2020
NeverEnding Story / First English-Chinese Bilingual Haiku and Tanka Blog
still stirs me...
if I were a leaf,
I'd become your book mark
after death
Chinese Translation (Traditional)
這朵壓扁的花
仍然讓我的心悸動
如果我是一片葉子
在我死後將會成為
你的書籤
Chinese Translation (Simplified)
这朵压扁的花
仍然让我的心悸动
如果我是一片叶子
在我死后将会成为
你的书签
Comment by Chen-ou Liu:
The simile created impliedly between a pressed flower, one that could function as a bookmark and the speaker is thematically and psychologically poignant, and what's left unsaid (would the pressed leaf/the deceased speaker stir the "you" in L4) is as potent as what's stated.
miercuri, 12 august 2020
luni, 3 august 2020
sâmbătă, 1 august 2020
joi, 30 iulie 2020
The Bamboo Hut, journal of English language tanshi NR.3 - 2020
touch the ground almost
erotically –
this pressed flower
still stirs me
when you are nowhere
to be found -
5
miercuri, 22 iulie 2020
AUTOUR DE PROUST - Tanka prose
COUP DE BLUES
„Dès le matin, la tête encore tournée contre le mur et avant d'avoir vu au-dessus des grands rideaux de la fenêtre de quelle nuance était la raie du jour, je savais déjà le temps qu'il faisait.”
On entend les voyelles de la pluie. L'amertume de l'âme les absorbe, en dégageant un air saharien, tout en accord avec mon esprit…
Le chant
d'oiseau dans la cage
tire vers sa fin –
ma joie de vivre encore
tournée contre le mur
Ça fait déjà une semaine que je n'ai pas détaché les feuilles de calendrier. C’est toi qui faisais ça. Il n'y a pas de feu dans le poêle. C’est moi qui faisai ça, mais je m’enroule comme je peux mieux dans la couverture.
À quoi bon en sortir ? Tu n’es pas ici à prendre tout à coup mon côté du lit. J’ai tant besoin de ton sourire câlin…et il pleut.
Les globes de Noël
ressemblent à des yeux
sans lumière –
je pourrais perdre ma vie,
mais jamais ton amour
Après quelques mois, je suis sortie chercher mon temps, trouver le sens de la vie. Dans la cour de l'abattoir, l'acacia a fleuri et se fait sentir de loin. Je prends une longue randonnée. Un tour, deux tours, sous le bleu moucheté du ciel, avant de m’arrêter à une station de bus où je me tiens jusqu'au soir, sans aucun but.
Il peut être agréable cet air délétère, là-bas. Les gens se rassemblent de temps en temps, comme s'ils viennent chez moi, sauf tu.
Oiseau malade
resté dans le chemin
au gré d’un rapace –
ma vie n’est pas grande chose,
captive dans ton oubli
Ah ! Que cette nuit est plus foncée que jamais, et moi, encore dans la rue. Soudain, une lumière à ma fenêtre fait tressaillir mon cœur. Tu es la seule personne qui puisse faire ça. Si j’étais vent, j’arriverais à la maison plus vite. Je cris ton nom…
Hélas ! Ce n’est qu’une autre solitaire, la Lune. On se regarde et on se dit : nous somme seules, mais vivantes ; un beau jour, quelqu’un va frapper à notre porte…
Les étoiles
comme des framboises mûres
en plein hiver –
le désir d'être aimé
n'a pas d'âge et de saison
Je remets le calendrier à jour et j’allume le feu avec ses feuilles. Pourquoi ne pas regarder le ciel à nouveau ?. En fin, une étoile filante, un premier désir accompli. Je descends dans la rue, où un irrésistible chaton noir fait le câlin et je l’amène chez moi. Il se joue à lui- même. Un peu de comédie va effilocher mon petit coup de blues.
Cet amas de papier blanc sur la table est un signe que j'ai déjà perdu assez de temps.
Écrire c’est un peu mourir, mais mourir ce n’est que recommencer la vie…
Les aiguilles de l’horloge se croisent à minuit. La tête tournée contre le même mur, je sais déjà, sans prévisions astrales, demain sera un jour à l’encre et à la plume …
duminică, 19 iulie 2020
The Poetry Pea Journal of Haiku and Senryu - This month's topic: Voyages
white feather
carried from river to river...
so far that ocean
marți, 7 iulie 2020
miercuri, 1 iulie 2020
marți, 30 iunie 2020
En un éclaire - Edition no. 59 juin, 2020
pour la dose d’oxygène –
à Dieu
il n’y a plus rien pour le Covid
à prendre
sâmbătă, 27 iunie 2020
Association Francophone de Haïku - Concours Photos-Haïkus 2020
L’AFH a le plaisir
de vous annoncer les résultats
du troisième Concours Photos-Haïkus 2020(Jury : Robert Gillouin et Gérard Dumon)
Gérard Dumon
L’allusion à Édith Piaf et à la vie qui, du coup n’est pas très rose accentue le côté militant de ce haïsha qui donne une fois de plus à réfléchir sur nos actes quotidiens.
(Je me demande si le côté « pixellisé » des détritus sur la plage est voulu, ou pas…)
https://www.association-francophone-de-haiku.com/actualite/?fbclid=IwAR0uNC1oMoMhzGhoe_ktR0yPLd1-hDOOlzVzRk4mY624BlHdrF4lHu2V01c